Polymnie
           
Polymnie   Polymnie   Polymnie  
  Polymnie  

Polymnie  

Polymnie  

Polymnie  

Polymnie  

Polymnie  

Polymnie  

Polymnie








 




Polymnie Polymnie Polymnie Polymnie Polymnie Polymnie


Polymnie
Polymnie Polymnie Polymnie
 


Enguerrand-Friedrich Lühl, L'œuvre pour piano Volume 11

Enguerrand-Friedrich Lühl-Dolgorukiy, piano

POL 138 170

Commander sur Clic Musique !


 
 
Polymnie
PolymniePolymniePolymnie

Enguerrand-Friedrich Lühl

Tarentelle LWV 161
4 Préludes LWV 163
Interlude LWV 165
"Liebeswut " LWV 166
"Wehmut" LWV 167

"Mehr Licht" LWV 177
2
Stimmungsbilder LWV 179
Polka de B.R. LWV 180
Konzeretüde LWV 181
Moment musical LWV 183
Valse LWV 186
Ballade n°9 LWV 187

Valse-Mazurka LWV 190

Sonate n°7 LWV 191

Moment musical "Waldesrauschen" LWV 192

   
 

Lühl-Dolgorukiy Vol. XI

Ce disque est le onzième volume des seize CD prévus jusqu’à présent pour l’intégrale des œuvres pour piano seul de Lühl. Il rassemble les premières œuvres (dans la suite chronologique des premiers CD), écrites juste après la fin de sa formation au Conservatoire National de Paris. Lühl compose à la table et n’a pas besoin de support instrumental pour se retrouver dans son monde msical. Cependant, pianiste, il ne peut s'empêcher de répéter certains passages pour commencer à les travailler au clavier. Après huit ans d’études d’harmonie et de contrepoint, son travail est abouti. Ainsi avait-il déjà pensé, enfant, à composer sans relâche pour apprendre, mais pour plus tard, une fois qu’il aurait acquis les outils nécessaires, "ne plus faire de fautes d’écriture et de structure ni d’étourderies de jeunesse", puis à remanier toutes ses oeuvres de jeunesse pour les raccorder avec les oeuvres dites "correctes". Ainsi, il réalisa son projet sur des années, revisitant pièces pour piano, musique de chambre et symphonies en les réécrivant entièrement et ne gardant que le thème principal de manière à constituer à travers son catalogue, une unité, une cohésion stylistique et musicale. Chaque dernière pièce s’inspire de la précédente, créant ainsi un fil conducteur au travers de son oeuvre.
Son catalogue est considérable et regroupe déjà près de 330 opus (LWV = Lühl-Werke- Verzeichnis, "catalogue des œuvres de Lühl "), dont dix symphonies, quatre concertos pour piano, diverses pièces pour soliste et orchestre, des poèmes symphoniques, de la musique de chambre... et pas moins de 220 pièces pour piano. Son opéra Unvergessen (Inoubliable) en trois actes sur un drame historique a été créé en janvier 2004 à Bolzano, capitale du Tyrol du Sud italien (10 représentations).
L’Association Vauban lui a commandé une série d’œuvres commémoratives pour célébrer l’année des 300 ans de la mort du Maréchal en 2007 : un requiem In memoriam Vauban, le poème symphonique La Chamade sur l’ouvrage Traité d’attaque des places en douze temps, une symphonie de chambre pour orchestre à cordes, un quatuor à cordes, illustrant des lettres originales de Vauban, une Suite Royale pour corde ou flûte seule.
Lühl reste un compositeur foncièrement classique, suivant la tradition des contemporains de Brahms, Tchaïkovski, Rachmaninoff ou Scriabine. Fortement attaché à la symbolique, ses pièces libres portent souvent des titres énigmatiques et méditatifs. Lühl est un "international", se sentant, peut-être par ses origines familiales, artistiquement slave et germanique. Outre des transcriptions et des pièces individuelles, son catalogue pour piano seul comporte quatorze sonates, quinze ballades, une trentaine de moments musicaux, une trentaine de préludes, des valses, des études et des cycles d’œuvres. Pendant des années, il a préparé en tant que pianiste l’intégrale des oeuvres d'Alexandre Scriabine. Ensuite, c’est à Serge Rachmaninov qu’il dédie son engagement pianistique avec toute son énergie en cherchant des œuvres nouvelles et inédites. Lühl-Dolgorukiy est un artiste complet. Grand amateur d’Art Nouveau, de peintres impressionnistes et d’architecture de la Renaissance italienne, il est également ébéniste, auquarelliste, scénariste et réalisateur ainsi qu’auteur de nombreuses œuvres littéraires en trois langues dans les thématiques les plus diverses (essais, romans à caractère historique, philosophique, futuriste ou dramatique, recueils de poésies, ouvrages scientifiques musicologiques, nouvelles...). Il travaille en collaboration avec les éditions phonographiques POLYMNIE pour l’intégrale de l’enregistrement de ses œuvres.

Elena Ossipova


Tarentelle LWV 161
Cette courte pièce introductive fut composée le 28 avril 2010 et retranscrit parfaitement le rythme effréné de la danse italienne du XIXème siècle.

4 Préludes LWV 163
S’en suivent ces quatre petites pièces contrastées, composées entre le 4 et le 20 juin de la même année. Le deuxième prélude fut plus tard repris dans une transcription – transposée d’un demi-ton – pour alto et piano, l’intitulant "mouvement perpétuel" LWV 232 (disponible chez Polymnie sous la référence POL 205 128).

Interlude LWV 165
Le 21 juin 2010, Lühl écrivit ce feuillet d’album "sur un coin de table", pratiquement entre deux rendez-vous, se sentant obligé de noter cette idée originale avant de l’oublier.

"Liebeswut " LWV 166
La "rage d’aimer", comme on pourrait le traduire en français, est un titre évoquant bien l’idée de cette étude pour piano, courte, certes, mais d’une intensité redoutable ! Elle fut écrite en Allemagne entre le 8 et le 9 juillet 2010.

"Wehmut" LWV 167
Pratiquement en parallèle avec la pièce précédente (les numéros d’opus et les dates de composition, pour celle-ci le 3 juillet, se croisent), Lühl continue sur sa voie estivale des pièces de caractère.

"Mehr Licht" LWV 177
Quelques mois s'écoulent avant de composer cette œuvre lente et méditative, en hommage aux dernières paroles de Goethe qui, selon la légende, se serait plaint sur son lit de mort qu’il voulait "plus de lumière". L’oeuvre vit, elle, le jour le 17 octobre 2010.

2 Stimmungsbilder LWV 179
Ces deux courtes pièces de salon, une valse intitulée Erwachen ("réveil ") du 8 novembre 2010, et Rondo académique du 16 novembre de la même année, font partie des nombreuses petites pièces d’agrément que Lühl composa en cette fin d’année.

Polka de B.R. LWV 180
Franz Behr (1837-1989) fut compositeur très prolifique, mais complètement tombé dans l’oubli aujourd’hui. Il est l’auteur d’innombrables polkas, gavottes et autres danses de salon pour piano. Très populaire de son temps, son catalogue d’opus englobe au moins 580 œuvres (mentionnant un opus 582 en dernière découverte musicologique). Il composait également sous le pseudonyme de G. Bachmann. Une seule pièce lui assurera cependant une notoriété internationale, peut-être même à son insu ! Vassili Rachmaninov, le père de Sergueï et pianiste amateur, jouait cette Polka badine op.303 – aussi connue sous le nom de La Rieuse ou encore Lachtäubchen et Scherzpolka tant et si bien que le thème principal de cette pièce de salon demeura dans la mémoire de son fils. Des années après, l’auteur du fameux Prélude en ut dièse mineur op.3 n°2 reprit cette polka et la transforma en une gigantesque périphrase virtuose en mentionnant sur le titre les initiales de V.R., conformes à Vassili Rachmaninov. Cependant, Rachmaninov n’arrangea que la première partie de la pièce de Behr et laissa la partie centrale inexploitée. Pour la Polka de B.R. (en clin d’œil au surnom donné à la version de Rachmaninov et au résultat phonétique de l’enchaînement des deux consonnes, donnant le nom de Behr), Lühl respecta le rapport tonal des deux parties originales de la partition de Behr (fa et si b majeur) et s’associa à la version de Rachmaninov en créant une continuité stylistique (la b Majeur pour Rachmninov et ré b Majeur pour la nouvelle paraphrase), en y ajoutant volontairement quelques clins d’œil propres aux formules pianistiques de Rachmaninov, de manière à donner l’illusion que l’ensemble a été composé par la même personne. Les trois œuvres comparatives se retrouvent dans le disque d’œuvres de Rachmaninov chez Polymnie sous la référence POL 150 293.

Konzeretüde LWV 181
Cette étude de concert rappelle quelque peu, dans le contexte de sa virtuosité et de son brio pianistique, les Etudes de virtuosité op.72 de Moritz Mozskowski ; l’indication de tempo sur la partition, presto brillante, parle d’elle-même. Elle fut écrite le 20 janvier 2011.

Moment musical LWV 183
Le 5-6 février 2011, Lühl entreprit la composition de cette pièce tourbillonnante ; écrite très vite, elle fut plus tard sujette à quelques corrections, faute d’avoir pu peaufiner les détails de la partition dès son premier jet.

Valse LWV 186
This little piece was written on March 16, 2011, number eleven from currently 26 waltzes featuring the artist's composition catalogue.

Ballade n°9 LWV 187
L’auteur lui-même ne s’en rappellait pas, mais en regardant le manuscrit pour noter quelques éléments sur cette pièce, il s’aperçut qu’il l’écrivit...en une seule journée – le 27 mars 2011. L’écoute de cette œuvre de 5 pages fera comprendre à l’auditeur pourquoi Lühl était si étonné d’avoir couché toute cette musique sur papier en un temps record !

Valse-Mazurka LWV 190
Le 6 juin 2011, Lühl s’offrit un petit cadeau en composant cette courte pièce élégante sans prétention.

Sonate n° 7 LWV 191
Cette œuvre, composée entre le 10 et le 14 juin 2011, fut plus tard sujette à de nombreux arrangements ; d’abord, sa teneur orchestrale et son volume sonore donnaient envie d’entendre plus d’instruments à la place du piano solo, ce qui suggéra l’idée à Lühl de l’incorporer dans son Troisième concerto pour piano LWV 188 qu’il était en train d’écrire en parallèle. Puis, fidèle à la tradition, il en fit une version pour deux pianos pour l’enregistrer dans l’intégrale de ses compositions pour cette formation (POL 120 132).

Moment musical "Waldesrauschen" LWV 192
La dernière œuvre de ce disque, composée le 24 juin 2011, porte un titre évocateur de l’ambiance qui s’en dégage ("bruissement de la forêt ", qui ne sonne pas du tout en français !).


Polymnie


 

This recording is the sixteenth volume of at least sixteen CDs planned as Lühl’s complete works for piano solo. This is “a moment of great happiness in my life”, he says, although sought after by everybody, and he lacks time for himself and composing.
Lühl composes while sitting at the table and does not need any instrumental support to find harmony, sounds and rhythms because he hears them in his head. However, as a pianist he cannot resist playing certain passages he has just written just for pure digital pleasure and satisfaction. He has never changed his way of working. After ten years of studies in harmony and conterpoint, his training was complete. Since childhood, he always knew he would spend every moment composing once he acquired the necessary tools to do so. And so, he completed his project over the years revisiting his piano pieces, chamber music and symphonies by rewriting them entirely and only preserving the main thematic elements, so as to create unity with stylistic and musical cohesion throughout his catalogue.
At the same time, he continues to compose new pieces. Each future work is inspired by the previous one, creating the thread that runs though time and space in his music. Each written piece is a witness, a page from a diary to be decoded by the listener. Lühl composes directly on paper without any drafts. His intellectual work goes like Arnold Schönberg wrote : "the music runs through his head while walking or giving class, or even riding his bicycle...!" And often in addition to the work, “the inspiration comes while writing”. Once a musical sequence is clear in his head he only has to write it down. He works very quickly and his catalogue is quite large given his young age and already includes 310 opuses (LWV= Lühl-Werke-Verzeichnis, in English ‘Lühl’s composition catalogue’), comprising ten symphonies, four piano concertos, various pieces for solo and orchestra, symphonic poems, chamber music, ... and at least 240 pieces for piano. His opera “Unvergessen” (“Unforgotten”) in three acts based on a historical drama was performed ten times in January 2004 in Bolzano, the Tyrolean capital of Northern Italy.
Several years ago, he started working with the “Vauban Association” to compose commemorative works on the great French Marshall de Vauban (1633-1707) for his tercentenary which was celebrated in 2007. He was in charge of the musical part and composed four great pieces: a string quartet, a Requiem in memoriam Vauban, a symphonic poem entitled la Chamade for choir and orchestra which illustrates Vauban’s essay on the attack and defence of fortified citadels, and a suite for solo string entitled Suite Royale (‘King Suite’) honoring the memory of Louis XIV.
His pieces for piano are organized in cycles in accordance with his desire for unity throughout his work. He refuses “unusual” commissions (e.g. clarinet and flute, accordion and piano...), and by definition, all that is not useful for his purposes. He writes at the moment of inspiration and for stylistic unity. Eventually, his ultimate goal is to leave to posterity a cultural patrimony of quality as well as an entity which has witnessed his artistic processes during these years of creativity. Even in the choice of the nomenclatura, the construction of the work and its topic, Lühl remains a classical composer, following in the tradition of Brahms, Tchaikovsky or young Rachmaninoff and Scriabin, avoiding therefore overly extravagant experiments. Strongly attached to symbolism, his free pieces often carry enigmatic and meditative titles. Having finished a double training in piano and conducting at the Conservatoire National de Paris in 1995, he never went back to it as a teacher, as so many do. Lühl is an international musician, but he also feels, because of his family roots, closely connected to the Slavs and Germans. His music “lasts”, takes time to expand during long progressions. “Every work is a variation of the previous one with all its own innovations; the entire work of an artist actually is just a variation, a reflexion of his personality. [...] One has to find oneself through Beauty which one has to seek and find as one’s own Truth. It’s only like this that we can create our own style and our own musical personality, by using reflexes to formulate that which we like in our pieces. It’s in finding ourselves through music that we are capable of moving the listener, this silent judge who contributes to insuring a work’s perenity.”
Besides transcriptions and individual pieces, his catalogue for piano alone includes ten sonatas, eleven ballads, thirty musical moments and about forty preludes, waltzes, etudes and suites. Today, he dedicates his piano activity to Serge Rachmaninoff with all his energy, researching new and unedited works and recording them for Polymnie.

Lühl is an accomplished artist: an enthusiastic amateur of French Art Nouveau, the impressionist painters and Italian Renaissance architecture. He is also the author of several essays, short stories and novels on philosophy, history, science-fiction as well as poetry and scientific works on musicology. His recordings are available at the music label POLYMNIE, for which he already recorded several works of his own, conducting an orchestra for his Fifth Symphony (POL 150 657), or playing the piano, and also seven CDs of piano pieces by S. Rachmaninoff. He is planning to record his entire work (about 55 CDs).


 

Polymnie

 

Tarantella LWV 161
This short introductive piece was composed in April 2010 and perfectly describes the style of the Italian 19th-century dance.

4 Preludes LWV 163
Shortly after, Lühl composed these four contrasted pieces, composed between June 4th and 20th. The second prelude was later on reused in a transcription for viola and piano he then entitled “perpettum mobile LWV 232” (Polymnie POL 205 128).

Interlude LWV 165
On June 21st 2010, Lühl wrote this short album leaf in only a few hours to make sure he would not forget the idea!

"Liebeswut" LWV 166
« The rage of Love », as one could translate it in English, is a rather accurate title referring to the work’s intense and passionate musical atmosphere. It was composed in Germany between July 8th and 9th.

"Wehmut" LWV 167
In parallel of the previous work – the opus numbers and composition dates (this one on July 3rd) can appear to be confusing -, Lühl continued to follow his free inspiration with another individual album leaf.

"Mehr Licht " LWV 177
A few months passed until Lühl composes this slow and meditative piece, a tribute to Goethe’s last words, “more light”; legend has it that the famous German author complained about the light in his study while he was lying on his dying bed. This works saw its own light on October 17th, 2010.

2 « Stimmungsbilder LWV 179
Two short pieces follow the previous one, the first one being a waltz (“awakening”) from November 8th, 2010, and an academic rondo on November 16th, two of the numerous pieces Lühl managed to compose at the end of this long and productive year.

Polka de B.R. LWV 180
Franz Behr (1837-1989) was a very prolific, but minor German composer of songs and salon pieces for piano. He was rather popular in his time, and many of his works were published (his opus numbers reached at least 582 pieces). He also used the artistic pseudonym G. Bachmann for other works such as Marche bulgare, Succès-mazurka, Collier de rubis, Paris-valse, Gavotte duchesse, Floréal mazurka...However, the only piece that appears in the modern-day repertoire is Lachtäubchen, otherwise known as Scherzpolka or polka badine in F Major, op.303 – and even there, essentially in the form of a virtuoso transcription by Sergei Rachmaninoff, which he himself entitled polka de W.R. The piece was a favorite of Rachmanioff’s father Wassili, an amateur pianist (the initials “W.R.” in the title refer to his father’s initials), but it is not known whether Rachmaninoff was aware about this polka’s true author’s name. Behr was given no mention in the published edition of Polka de W.R., and it was universally believed to be an original work by Rachmaninoff until when the true author of this charming melody was finally revealed. The piece is now generally listed as being by “Behr/Rachmaninoff” or “Behr, Arr. Rachmaninoff”. Rachmaninoff only arranged the first part of Behr’s piece and left the main central part untouched. Lühl wanted to enhance the central missing part of Rachmaninoff’s legacy. As for the title he used to name his piece, B.R. is simply a phonetic pun standing for Behr, which sounds almost the same when pronounced quickly; the work was composed on December 16th/21st and it respects the tonal connection between the two original parts of Behr’s composition (F and B flat Major), therefore connecting it now to Rachmaninoff’s original A flat Major by writing his paraphrase of the central element in D flat Major; this is to give the illusion that the concept was composed by the same person. A parallel of these three works can be found in Lühl’s recording of works by Rachmaninoff (POL 150 293).

Konzeretüde LWV 181
This virtuoso concert study, more a composition challenge than an actual etude to strengthen a pianist’s fingers (!), reminds one of Moritz Mozskowski’s 15 etudes op.72; the tempo, however, presto brillante, can dispense with additional comments on the work’s atmosphere and complexity. It was written on January 20th, 2011.

Moment musical LWV 183
On February 5-6th, 2011, Lühl composed this pianistic “whirlpool” – very quickly, indeed, which was later on subject to a few modifications due to the sloppiness of the moment when he first composed the piece.

Valse LWV 186
Cette petite pièce de salon fut écrite le 16 mars 2011, la onzième sur actuellement 26 pièces similaire figurant de le répertoire de composition de l'artiste".

Ballad n°9 LWV 187
When it was time to work on the present CD’s booklet, the composer was amazed to realize how fast he wrote this 5-page piece: in only a single day, on March 27th, 2011!

Valse-Mazurka LWV 190
One month later, on June 6th, Lühl offered himself a little “composition bonus” with this short, though elegant composition.

Sonata # 7 LWV 191
This work, composed between June 10th and 14th, 2011, was later on subject to various arrangements and adaptations; first of all, the work’s sound mass and balance called out for more volume than just a single piano which made him use it for the finale of his third piano concerto, on which at that time he was also working in parallel. Then, he adapted this last version for piano and orchestra for two pianos in order to be able to insert it in his double album for two pianos (POL 120 132).

Moment musical "Waldesrauschen"" LWV 192
“Forest whisper” could be the adequate title in English written on June 24th, 2011, but the German title, he thought, sounds much better to recall the keyboard’s fluid motion and the harmonic progressions throughout the work.


Polymnie


Lühl-Dolgorukiy travaille en collaboration avec les éditions phonographiques Polymnie pour l’intégrale de l’enregistrement de ses œuvres. Sont déjà disponibles ses quatre premiers Quatuors à cordes (POL 480 243 et POL 480 364), le Requiem Vauban (POL 790 344), sa cinquième Symphonie sous sa direction (POL 990 361) et de nombreux CD Rachmaninoff, dont le deuxième Concerto pour piano op. 18 et la Rhapsodie sur un thème de Paganini dans une réduction pour deux pianos de l’auteur. Notons aussi un travail considérable avec l'édition des oeuvres de John Williams Star Wars, (POL 151 686) Harry Potter, (POL 105 109) Jurassic Park, (POL 108 115).....d’autres albums sont en préparation.

Lühl's recordings are available at the music label Polymnie, for which he already recorded several works of his own, conducting an orchestra for his Fifth Symphony (POL 990 361), or playing the piano, and more recently a CD of piano pieces by S. Rachmaninoff and the Rhapsody on a theme by Paganini as well as the Second piano concerto op. 18 (POL 150 865), also several CD by John Willams, Star Wars, (POL 151 686) Harry Potter, (POL 105 109) Jurassic Park, (POL 108 115).. Lühl is planning to record his entire work (about 50 CDs).




Accueil | Catalogue | Interprètes | Instruments | Compositeurs | CDpac | Stages | Contact | Liens
www.polymnie.net Site officiel du Label Polymnie • © CDpac • Tous droits réservés •