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John Williams Fox Fanfare
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John Williams... 40 ans de carrière pour piano Né en 1932, auteur en outre de quatre hymnes olympiques (Los Angeles, Séoul, Atlanta et Salt Lake City), chargé de la partie musicale de l’investiture de Barack Obama, à présent titulaire de 5 Oscars (49 nominations), de 4 Golden Globes, de 7 BAFTA Awards et de 21 Grammy Awards, ayant été intronisé au Hollywood Bowl Hall of Fame en 2000 et récipiendaire du Kennedy Center Honors en 2004, John Williams est devenu, après Walt Disney, l’artiste cinématographique le plus récompensé de l’histoire du cinéma. Le travail de Williams Chaque compositeur a sa propre méthode de
travail. Williams, après l’élaboration sommaire des grandes
ambiances générales du film concerné, dresse un canevas orchestral
pour instrumentarium réduit (10 à 12 instruments) et laisse, faute
de temps pour le faire lui-même, ses orchestrateurs parfaire et
affiner l’œuvre. Il est aujourd’hui l’un des rares compositeurs à
toujours écrire à la main, la majeure partie des compositeurs
utilisant une logistique informatique permettant des changements
d’orchestration de dernière minute pendant les sessions de
répétition ou d’enregistrement avec l’orchestre en synchronisé
avec la projection du film. Une fois la musique intégralement
enregistrée, elle peut subir de sévères coupures dues à
d’éventuels montages postérieurs, ce qui rompt la structure des
enchaînements musicaux. Malheureusement, le plus souvent, ces
coupures abruptes sont faites au profit de l’image et dénaturent
la qualité de la construction musicale.
Le travail de Lühl Travaillant pour la diffusion des œuvres de
Williams depuis 2006, Lühl a transcrit fidèlement près de 60
titres du compositeur américain pour piano seul et deux pianos. La
première surprise que l’on découvre grâce à ces transcriptions,
dont chaque note de l’immense appareil orchestral est reprise aux
pianos, est la limpidité des différentes voix qui se retrouvent
inondées dans la masse orchestrale d’origine : le discours devient
transparent et presque évident.
Genèse d’un défi musical Si Indiana Jones et le Temple maudit a été
réalisé après Les Aventuriers de l’Arche perdue, ce deuxième
épisode
de la saga situe l’action à Shanghai, puis en Inde en
1935, alors que L’Arche perdue se passe en 1936. De plus, il
paraît incontournable de débuter ce programme par le thème
principal, figure de proue musicale du protagoniste. Le reste de
la musique du générique de fin comporte le deuxième thème annexe
du film, la Marche des enfants esclaves, parfois même combiné avec
celui d’Indiana Jones. Une grosse partie de ce disque est
consacrée à L’Arche perdue et illustre environ les vingt premières
minutes du film en respectant l’ordre chronologique
Pour rendre un hommage complet à
John Williams, Lühl a souhaité graver au disque quelques-unes des
plus emblématiques musiques de film du compositeur américain.
Sont apparues dans l'ordre des publications :
Born in 1932, besides being
the author of four Olympic hymns (Los Angeles, Seoul, Atlanta
and Salt Lake City), American Hollywood composer John Williams
now owns 5 Oscars (he was nominated 49 times!), 4 Golden Globes,
7 BAFTA Awards and 21 Grammy Awards. In 2000 he entered the
Hollywood Bowl Hall of Fame and received the Kennedy Center
Honors in 2004, John Williams which makes him the most awarded
individual in the history of the motion picture since Walt
Disney.
Williams’ work Every composer has his own
method of working. Williams, after composing his themes and main
musical atmospheres of the movie at the piano, writes down a
particell for small orchestra (10 to 12 instruments) and leaves
the final orchestration, because of lack of time, to his
orchestrators. Today, he is one of Hollywood’s rare composers
who still writes by hand and not use increasingly complex
software like most of his contemporaries. Then, the editor
prints the separate parts for each instrument of the orchestra
and last minute changes occur during rehearsals or the recording
sessions while synchronizing with the organic motion of the
film. Once the music is completely recorded, it is often cruelly
cut for future video editing which breaks the musical structure.
Unfortunately, such cuts, made to enhance the plot, tend to
damage the quality of the musical integrity behind the image
flow. Once the musical composition for the film is completed and
entirely recorded (some parts being rejected or sometimes even
recomposed according to the director’s instructions), Williams
creates a concert suite of the best musical moments of the film.
Lühl’s work Lühl has faithfully
transcribed around 70 pieces from John Williams’ film music
repertoire, and one immediately notices how neat his rich
orchestral scores become when looking at them through only one
type of instrument.
To reach a broader audience for these themes
haunting the minds of admiring viewers, many composers usually
arrange – sometimes even anonymously – pieces for piano
assembling the best parts of films musically illustrated by
their respective composers. However, these arrangements,
conceived for amateur pianists, sever the pieces dramatically
and simplify them to the point that one barely recognizes the
original score. This horribly weak adaptation destroys the
work’s genuine character and reduces it to the slight minimum –
the main theme and a primitive accompaniment! A work of nine
minutes for orchestra is accordingly compressed into a
one-minute pieces of two piano pages – just for the pleasure of
the amateur performed calming that he is capable of playing the
'ET theme'. The quality of such scores does not do credit to the
original purists and fans and many more serious pianists can
only dream of one thing: relive the musical journey in a more
realistic and demanding way by playing more of the original work
than only a few reductive pages.
If Indiana Jones and the
Temple of Doom has been released after Raiders of the lost Ark,
this second episode from the saga sets the plot in 1935 – first
in Shanghai, then in India –, whereas Raiders takes place in
1936. Therefore, in order to respect the chronological order of
the four film series, and at the same time, introduce the March
of Indiana Jones, it was necessary to begin with the sequel
instead of the original first movie.
Lühl-Dolgorukiy
travaille en collaboration avec les éditions phonographiques
Polymnie pour l’intégrale de l’enregistrement de ses œuvres.
Sont déjà disponibles ses quatre premiers Quatuors à cordes (POL
480 243 et POL 480 364), le
Requiem Vauban (POL 790 344), sa
cinquième Symphonie sous sa direction (POL
990 361) et de nombreux CD Rachmaninoff, dont le deuxième
Concerto pour piano op. 18 et la Rhapsodie sur un thème de
Paganini dans une réduction pour deux pianos de l’auteur (POL
150 865). Notons aussi un travail considérable
avec l'édition des oeuvres de John Williams Star Wars (POL
151 686), Harry Potter (POL
105 109), Jurassic Park (POL 108
115)... d’autres albums sont en préparation.
Mahery Andrianaivoravelona
s'est produit pour la première fois comme pianiste avec
orchestre à l'âge de 13 ans en interprétant le 9ème Concerto
K271 "Jeune homme" de Mozart. En 1991, il entre au CNSM de Paris
dans la classe de piano de Michel Béroff et suit parallèlement
des cours de musique de chambre. Il obtient quatre ans plus tard
le Diplôme de Formation Supérieure du CNSM de Paris, ainsi que
diverses récompenses en histoire du jazz, en acoustique, en
déchiffrage et en analyse. Suite à cela, il remporte divers
Premiers Prix de Concours Nationaux et Internationaux tels que
ceux du Royaume de la Musique, du Concours Claude Kahn ou encore
du Concours de Saint-Nom La Bretèche et est depuis invité à se
produire en récital en France, en Allemagne
(Hattersheim/Düsseldorf), en Italie (Rome), en Tunisie
(Hammamet) à La Réunion, et dernièrement à Madagascar, à
l'occasion de festivals, congrès médicaux ou pour des œuvres
caritatives (concerts au profit des victimes du cyclone «
Geralda » à Antananarivo). Parallèlement à son activité de
concertiste, il mène régulièrement une action pédagogique active
à Madagascar au travers d'ateliers, de Master Classes, de
concerts et de jury de concours. Mahery Andrianaivoravelona
first performed as a pianist with orchestra at the age of
thirteen when he played Mozart’s 9th concerto K271. In 1991 he
began his studies at CNSM of Paris with M. Béroff and at the
same time followed courses in chamber music. Four years later he
received his diploma from the CNSMDP as well as many awards in
history of jazz, acoustics and musical theory. After that he won
various first prizes nationally and internationally such as the
Royaume de la musique, the Claude Kahn competition and the
international Saint-Nom- la-Bretèche competition. He has also
played internationally in France, Germany and Italy, Tunisia, La
Réunion and lately in Madagascar for festivals and special
events. Since 2004 he performs in duo with the pianist and
composer Enguerrand-Friedrich Lühl. They are preparing a series
of concerts for Musique et Toile. In parallel to his activity as
a concert pianist he organises special music workshops for
master classes, concerts and juries in Madagascar.
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